90000 euros de plus-value après avoir tout essayé !

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Exploiter un même appartement en location courte durée et colocation, ils l’ont fait !
Mais ça n’a pas suffit. Après cela, ils ont décidé de revendre avec une plus-value de 90000 euros, nette d’impôt !

Découvrez dans cette vidéo l’incroyable opération immobilière de Sacha et Sébastien.

Si ce parcours vous inspire, laissez un commentaire en dessous de la vidéo !

Transcription

Bonjour à tous et bienvenue dans cette nouvelle vidéo sur louer-en-courte-durée.fr

Je suis ravi de vous accueillir pour une nouvelle interview, une interview un tout petit peu particulière avec un couple, Sacha et Sébastien.

Sacha : Bonjour !

Sébastien A : Salut à vous.

Sébastien : Salut à tous !

Sacha : Bonjour, salut !

Sébastien A : Merci d’être présents.

Alors, j’ai trouvé leur parcours vraiment génial. Ils ont commencé par de la colocation, en tout cas, ils avaient un projet de colocation, c’est la raison pour laquelle je les ai aujourd’hui avec moi parce que  vous savez, je démarre la colocation et en parallèle, sur le même bien immobilier, ils ont fait de la location courte durée, ils ont profité…

Sébastien : De l’Euro !

Sébastien A : De l’Euro. Tu as dévoilé le truc un petit peu à l’avance ! Pour booster leurs revenus. C’est tout ça qu’il vont nous expliquer dans cette vidéo.

Avant que je leur laisse la parole, n’hésitez pas à vous abonner gratuitement et librement à ma chaîne YouTube. Ça me permettra de vous tenir informés de la publication de toutes mes nouvelles vidéos dans lesquelles je partagerai avec vous des conseils, des astuces, mais également des interviews de spécialistes de l’immobilier.

Sébastien A : Je vous laisse la parole !

Sacha : Bonjour ! Donc, Sacha et Sébastien !

Sébastien : Voilà, donc de Business Malin et qu’est-ce qu’on a fait ? On a fait un premier investissement assez osé puisqu’en premier investissement, on a acheté une ruine, donc à Lille, on est de Lille, 130m², donc il n’y avait vraiment que quatre murs. C’est-à-dire que même pendant les travaux, on s’est rendu compte que le bien s’effondrait, on a dû mettre des IPN, enfin la charpente était brûlée, beaucoup, beaucoup, beaucoup de travaux à faire.

Sacha : Du coup, beaucoup de stress.

Sébastien : Beaucoup de stress, de sueurs, tout ça. Et ce bien-là, donc c’était 150000€ à l’achat et à peu près pareil en travaux, 150000€ de travaux. On a tout remodelé, aménagé pour transformer ça en colocation 5 chambres.

Sébastien A : Donc, votre projet initial, c’était de la coloc ?

Sacha : Oui, oui.

Sébastien : C’était ça, oui.

Sébastien A : Votre volonté, c’était vraiment de faire de la coloc.

Sacha : On a fait tout le plan de financement sur la colocation parce que c’est ce qu’on voulait faire.

Sébastien : C’est ce qu’on voulait faire, profiter d’une niche qui rapporte. L’emplacement n’était vraiment pas loin de la plus grande faculté, donc c’était l’idéal pour attirer les étudiants. Donc initialement, c’était vraiment pour de la coloc.

Sébastien A : Par contre, pas de la coloc « ordinaire », il y avait un standing, toutes vos chambres sont équipées, enfin je vous laisse raconter tout ça.

Sacha : En fait, oui, chaque chambre est équipée d’une salle de bain, d’une toilette. Alors pourquoi ? Tout simplement pour créer l’effet coup de cœur et ça permet d’avoir moins de turnover.

Sébastien : Et c’est comme en fait cinq petits studios finalement puisque chacun a sa salle de bain avec un espace de vie commun, donc salon qui est très sympa, la cuisine américaine. Et on ne se rend pas compte mais on a découvert, enfin fatalement après, une fois qu’on l’a mis en location, ça fait vraiment la différence sur le marché. Une grosse différence !

Sacha : Du coup, on peut louer beaucoup plus cher, à peu près 20% de plus que la colocation classique.

Sébastien : Et les gens veulent rester. Ça ne fait pas une petite différence, c’est juste énorme la différence !

Sébastien A : Mais je pense que les gens doivent être contents d’avoir une salle de bain privative et un coin toilette privatif.

Sébastien : Et en décembre, on a eu trois personnes qui sont parties parce qu’elles sont parties en Erasmus. Elles ont demandé, quand elles reviennent, à récupérer le bien. Et elles ont dit à un de leurs potes « viens pendant la coloc, pendant ce temps-là »… Enfin vraiment du coup, dès qu’il y a du turn-over en fait, il n’y a jamais de vacances.

Sacha : Et le must, parce que c’est déjà un investissement très rentable, on est quasiment à 10% de rendement, et le must, c’est qu’on en a profité pour la mettre aussi en location saisonnière.

Sébastien A : Justement, on va y venir. Alors, si on reprend l’historique de ce projet, vous avez signé l’acte définitif quand, et quand est-ce que ça était livré ?

Sacha : Ouh la, ça a mis du temps. Déjà, on a trouvé le bien en février mais on a mis du temps…

Sébastien A : En février 2016 ?

Sacha : 2015. Et on a mis plusieurs mois à se mettre d’accord sur le prix d’achat.

Sébastien : Oui, grosse, grosse négo avec le vendeur. Il en voulait 190000€. Et nous, on a dit, je crois qu’on a démarré à 140 si je ne dis pas de bêtise ?

Sacha : Oui, 140 et on a fini à 145.

Sébastien : Voilà. Même chez le notaire, il faisait la gueule, je m’en souviens encore.

Sacha : En plus, on était arrivé en retard.

Sébastien : On était arrivé en retard, il faisait vraiment la gueule. Personne n’en voulait, c’était vraiment une ruine, mais délabré au possible, vraiment que quatre murs. Donc, finalement en concurrence, il n’y avait pas grand monde. Donc, on a proposé 140, trois semaines sont passées, après ils avaient baissés le prix, je ne sais plus à combien, et tranquillement on a proposé 143 et ensuite à 145, on s’est mis d’accord mais on a perdu du temps.

Sacha : Du coup, on a signé l’acte authentique de mémoire vers…

Sébastien : C’était juin 2015.

Sacha : Juin 2015.

Sébastien A : Juin 2015, donc direct on embraille les travaux.

Sacha : Les travaux.

Sébastien : Oui, beaucoup de travaux, donc 9 mois de travaux.

Sébastien A : Gros projet, hein.

Sébastien : Oui, gros projet. Et avec une déconvenue, c’était le Consuel d’ailleurs, c’est que fin décembre les travaux étaient terminés mais on ne pouvait pas le mettre en location puisque le Consuel a mis quasiment trois mois à passer. C’était horrible.

Sacha : Oui, parce qu’on se disait mince, on a du manque à gagner, on aimerait bien se faire de l’argent.

Sébastien : Oui, du gros, gros manque à gagner et on voulait accélérer les choses mais c’est vraiment très difficile d’accélérer les choses avec le Consuel. On nous a même dit ne le brusquez pas trop sinon ils vont faire exprès de perdre du temps. Ce n’est pas simple.

Sébastien A : D’accord.

Sacha : Et du coup, première mise en location : fin mars 2016.

Sébastien A : D’accord, ok.

Sébastien : Et là, on a eu une réflexion, on s’est dit les travaux se terminent fin mars et il y a l’euro en juin.

Sacha : Non, d’abord pour reprendre l’historique, c’est que comme on a perdu trop de temps avec  les travaux qu’on s’était dit mince on a du manque à gagner, comment on peut faire pour compenser ce manque à gagner. Et on s’était dit tiens la location saisonnière, pourquoi pas sachant qu’on ne savait pas trop si ça allait marcher parce que c’est un 5 chambres, un 10 personnes.

Sébastien : Oui. C’était un bien très atypique.

Sacha : Et on ne savait pas trop. Et en fait, on s’est rendu compte qu’il y avait énormément d’enterrement de vie de jeune fille et de garçon qui cherchaient des 10 personnes.

Sébastien A : Oui, ça peut être des bons plans, oui.

Sébastien : Ça marchait très, très bien. On a découvert un marché de groupes pour le saisonnier. Enfin, c’est vrai que c’était un bien complètement atypique sur le saisonnier. On a même eu l’idée de faire une chambre, enfin faire cinq annonces, une par chambre, mais on s’est rendu compte qu’après plusieurs tests qu’une chambre ne valait pas grand-chose si on le comparait au logement complet.

Sébastien A : Puis après, en termes de gestion, pour la synchronisation des calendriers, les encaissements…

Sébastien : Ce n’est pas simple.

Sébastien A : Enfin, cinq annonces, c’est un peu…

Sébastien : Mais c’est surtout qu’en termes de valeur marché, il n’y a pas photo. Un gros bien a énormément plus de valeur que si on le divise, enfin parce qu’on se rend compte qu’il y a vraiment une demande pour du groupe et pas beaucoup de concurrences. C’est surtout ça, je pense. Pas beaucoup de concurrence.

Sacha : Oui.

Sébastien : Dès qu’on dépasse les six personnes, il n’y a plus grand monde.

Sacha : Oui. Bon, on était les seuls en fait.

Sébastien : Oui. En plein centre parce que c’est plein centre.

Sébastien A : Donc, l’Euro est arrivé.

Sacha : Oui. Et là, ça fait notre bonheur.

Sébastien : Alors là, c’est juste hallucinant. On a mis même des prix pour tester, des prix à 600€ la nuit, 800€, 1000€, et ça partait, comme des petits pains ! Même quand ça part à 1000€, on se dit qu’on aurait dû mettre plus cher !

Sacha : Oui.

Sébastien A : 1000€ la nuit, ok. Et donc, vous avez fait combien sur ce mois d’Euro ? Il y a eu un mois d’Euro l’an dernier.

Sébastien : Alors, juste le mois de juin, on s’est fait 7000€ ; mais sur trois mois, on a fait 15000€.

Sébastien A : 15000€. 15000€ !

Sacha : Et net d’impôts parce que du coup, comme on passe les amortissements et tout ça, on n’a pas payé d’impôts dessus.

Sébastien : En régime réel, tout ça fait 15000€ net d’impôt.

Sébastien A : Oui. Remarque : avec 150000€ de travaux, il y a de la marge pour créer du déficit. Ok, bravo, bravo !

Sacha : Merci.

Sébastien : Merci, Sébastien.

Sébastien A : C’est vrai que du coup, c’est atypique. Déjà, ils investissent en couple, ils se chamaillent, ils sont amoureux, c’est un peu les deux à la fois.

Sacha : Mais on a quand même fait un contrat de mariage.

Sébastien A : Et ce qui est bien aussi, c’est que le même bien, ils l’ont testé en location courte durée et en colocation, donc pour moi, ça méritait vraiment une interview sur cette chaîne. Alors, ce qui n’est pas fini avec ce bien parce que

Sébastien : Alors ce bien, on essaie tout avec.

Sébastien A : Je vous laisse raconter la suite.

Sébastien : Donc, on l’a mis en collocation juste après l’Euro. Et là, vu qu’on a acheté entre temps un autre bien, enfin du coup, on s’est fait potes avec l’agent immobilier, et on discute de notre parcours avec l’agent immobilier et là, on se dit…

Sacha : Et donc déjà, il était curieux, il nous a dit : « est-ce que tu peux nous faire visiter le bien. » On a dit pas de souci. Donc on fait la visite, et là il nous dit « franchement, je peux en tirer 420000€. » Et nous, on calcule vite, on se dit wow, 420000…

Sébastien : Ça faisait 90000€ de plus-value. Donc, on s’est dit « écoute, si tu es capable de vendre à ce prix-là, on te donne mandat, de toute façon, on n’est pas pressé. Donc, on te donne mandat, débrouille-toi, de toute façon, il tourne », donc voilà. Donc, on l’a mis en vente par opportunité. C’est-à-dire si on ne vend pas à la limite, ce n’est pas grave.

Sacha : Il nous a trouvé un acheteur trois semaines plus tard.

Sébastien : Oui. Ça, c’était un truc de malade.

Sacha : Donc, on a signé le compromis et deux jours plus tard, c’est triste mais le monsieur décède d’une crise cardiaque à 40 ans.

Sébastien : Et l’agent dit : « c’est la première fois dans ma carrière que ça m’arrive. » On sait que ça peut arriver mais là, c’est la première fois, l’acheteur est décédé donc la vente capote.

Sacha : Mais là, on a eu une réflexion, à se dire est-ce qu’on le laisse sur le marché ou pas. Donc, on l’a retiré parce qu’on s’est dit que d’un point de vue valeur-marché, si des personnes le voient trop longtemps en annonce, ils vont nous proposer des prix, mais à rabais.

Sébastien : Ça perd de sa valeur si ça reste trop.

Sacha : Donc on l’a retiré, on l’a remis en vente en janvier 2017.

Sébastien A : À 420000€ ?

Sébastien : Toujours.

Sacha : À 420000€. Et on a un acheteur.

Sébastien A : Et vous signez quand ? Enfin, il a eu son prêt ?

Sacha : Normalement…

Sébastien : Donc là, on a signé le compromis.

Sacha : On a signé le compromis, il a trouvé son financement, il faut juste qu’on aille chez le notaire.

Sébastien A : Ok. Donc, il y a 90000€ qui se promènent avec peut-être un impôt sur la plus-value comme ce n’est pas votre résidence principale ?

Sacha : Eh bah non parce que figure-toi qu’il y a une loi qui dit que si jamais, tu vends un investissement locatif…

Sébastien A : Premier achat.

Sacha : Voilà. Si tu vends un investissement locatif et que tu réinjectes dans ta résidence principale, tu peux…

Sébastien : … exonérer l’impôt sur la plus-value, donc on est tombé aussi sur cette loi, enfin on est tombé, c’est l’agent immobilier qui nous a dit : « hey, cette loi existe, comme ça tu peux toujours le vendre et c’est bien que tu le vendes, comme ça je touche ma com ! » En gros, c’était ça.

Sébastien A : Et donc, vous achetez la résidence principale… officiellement.

Sacha : Officiellement.

Sébastien A : Ok. Parfait. Donc voilà : collocation, location courte durée, achat/revente, tout ça en l’espace de 1 an, 1 an et demi ?

Sacha : 18 mois.

Sébastien : 1 an et demi.

Sébastien A : 1 an et demi sur le même bien immobilier avec une plus-value de 90000€ à la fin, bravo !

Sacha : Merci.

Sébastien : Merci, Sébastien !

Sacha : Et tout ça à moins de 30 ans.

Sébastien A : Ah oui, bravo. Franchement, bravo. Je suis vraiment content de partager ça avec vous sur ma chaîne. Je pense que ça va donner des idées, des envies à beaucoup de personnes. Alors, vous, c’est investisseur malin ?

Sacha et Sébastien : Business malin.

Sébastien A : Business malin, est-ce que vous pouvez nous en dire deux mots ?

Sacha : Business malin, c’est un site internet et une chaîne YouTube qui explique comment investir en couple et notamment comment convaincre son conjoint s’il est un peu réticent. Parce qu’on s’est rendu compte que quand on investissait à deux, ce n’est pas évident, il y a en a toujours un qui est un peu plus frileux et on explique un peu comment acheter à deux, quel statut, tout ça.

Sébastien : Et surtout aussi en réalisant d’excellentes affaires. Donc il y a aussi un volet performance immobilière, puisque nous ce qu’on cherche, c’est vraiment la renta, le cashflow…

Sacha : Bah l’argent, quoi.

Sébastien A : Oui, l’argent.

Sébastien : Pour la liberté. En fait, c’est se bâtir le plus rapidement possible une liberté. C’est vraiment notre…

Sébastien A : Là, vous avez mis la barre assez haute.

Sébastien : Et surtout, on veut continuer. Être très rapide, c’est vraiment ça qui nous motive, être très rapide.

Sacha : Et puis, notamment, tu es aussi pas mal sur ton site internet, et puis c’est vrai que tu donnes des astuces sur tout ce qui est location saisonnière et…

Sébastien : Et ça, c’est un excellent moyen justement d’aller vite.

Sacha : Il faut s’informer, il faut toujours continuer à se former et c’est comme ça qu’on devient bon.

Sébastien A : Ok. Bah écoutez, merci.

Sébastien : Merci à toi.

Sébastien A : Je vous souhaite plein de bonheur pour la suite.

Sacha : Bah merci.

Sébastien : Et puis, si vous souhaitez nous retrouver, allez sur Business Malin TV sur YouTube sur notre chaîne.

Sébastien A : Je vais mettre tout ça dans la vidéo et dans la description.

Sacha : Et n’oubliez pas, abonnez-vous sur sa chaîne.

Sébastien A : Bien sûr, abonnez-vous, abonnez-vous !

Justement, si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à me suivre sur mon blog louer-en-courte-duree.fr et à vous abonnez à ma chaîne.

Et puis, j’ai rédigé également deux e-books que vous pouvez télécharger en cliquant sur les deux vignettes qui sont apparues dans cette vidéo ou en cliquant sur le « i » en haut à droite, ou en cliquant sur le lien que je mets dans la description de cette vidéo.

Le premier e-book s’appelle « Convaincre la banque, mode d’emploi », et dans cet e-book, je vous explique comment présenter votre dossier d’investissement locatif à votre banquier pour mettre toutes les chances de votre côté pour obtenir votre financement.

Et le second e-book s’appelle « Doubler son salaire avec la location courte durée » dans laquelle je vous explique pourquoi la location courte durée va vous permettre de vous créer une rente immédiatement, sans attendre la fin de votre crédit immobilier dans 15, 20, surtout 25 ans, surtout pas.

Sacha : Et surtout que le premier e-book, enfin je tiens juste à rajouter quelque chose, c’est que le financement, pour nous, c’est vraiment le plus difficile. L’achat ça va, la vente ça va, mais le financement…

Sébastien : En fait, on nous dit souvent qu’on va trop vite, trop de dettes, trop vite, et nous, c’est notre problème actuel.

Sacha : Il faut télécharger ces guides parce que c’est super intéressant.

Sébastien A : Je vous montrerai en fait, à chaque fois, j’ai un business plan de 40 pages, je vous montrerai comment je présente ça.

Sébastien : Avec plaisir ! On voudrait 1000000 d’euros de prêt, c’est possible ?

Sébastien A : 100 pages, 100 pages, 100 pages.

Sacha : Allez, passez une bonne journée !

Sébastien : À bientôt !

Sébastien A : Merci bien. À bientôt, au revoir !

Sébastien : Salut !


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