Coronavirus : Quel impact sur l’immobilier ?

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Le coronavirus place toute l’économie au ralenti, voire à plat.
L’immobilier n’échappe pas à la crise et les premières activités touchées sont celles de la location courte durée et de la location saisonnière.
Les annulations de séjours se succèdent les unes après les autres.

Dans ce contexte, comment se retourner et limiter la casse ?
Et sur un plan plus général, comment va se comporter l’immobilier ?
Y aura t-il des opportunités à saisir ?

Dites-moi dans la zone de commentaires ce que vous pensez de tout ça.

Transcription

Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo ! Je suis Sébastien et je suis ravi de vous retrouver aujourd’hui pour une vidéo, un petit peu, particulière puisqu’on va parler du coronavirus et de l’impact que peut avoir ce coronavirus sur l’immobilier et sur la location courte durée.

Avant que je vous en dise plus, si vous vous retrouvez pour la première fois sur cette chaîne YouTube, surtout n’hésitez pas à vous abonner en activant la petite cloche pour rejoindre une communauté de plusieurs milliers de personnes passionnées d’immobilier, de stratégie de location à haut rendement et surtout pour être tenu informé en temps réel de la sortie de toutes mes nouvelles vidéo.

Venons-en au sujet du jour, sujet très chaud d’actualité, le coronavirus et quel impact ce coronavirus va avoir sur l’immobilier et la location courte durée. Avant d’aller plus loin, ce qu’on peut dire, c’est que ce coronavirus, il touche tous les secteurs de l’économie. Il y a beaucoup d’entreprises, pour ne pas dire la quasi-totalité, qui ont mis leurs salariés en chômage technique, donc l’économie fonctionne au ralenti, voire même plus qu’au ralenti. Le secteur de l’immobilier n’échappe pas à la règle, il est touché et parmi toutes les activités qui existent dans l’immobilier, la location courte durée est le secteur qui a été touché le plus durement, il a pris de plein fouet le coronavirus.

Si vous faites aujourd’hui de la location courte durée, vous avez plusieurs attitudes que vous pouvez adopter face à ça. Dans un premier temps, il ne faut pas se le cacher, toutes les demandes d’annulation tombent les unes après les autres. Moi ce que je vous encourage à faire, c’est de vous reporter à vos conditions générales de vente. Si vos clients vous demandent un remboursement de leur séjour et que d’après les conditions générales de vente, vous devez rembourser les clients, là il n’y a même pas débat, rembourser les clients. Ensuite, il y a d’autres plateformes, comme Booking ou comme Airbnb, qui systématiquement remboursent ou demandent aux propriétaires bailleurs de rembourser les clients. Donc là aussi, alignez-vous derrière Booking et derrière Airbnb si jamais les réservations proviennent de ces sites-là.

Ensuite, on va rentrer dans des configurations un petit peu particulières, si jamais vous avez fait des ventes de séjours en direct. Là encore une fois, ce que je vous invite à faire, c’est à vous reporter à vos conditions générales de vente. Si dans les conditions générales de vente, il est indiqué que vous devez rembourser le voyageur, encore une fois il n’y a pas débat, rembourser le voyageur. Maintenant si dans vos conditions générales de vente, il n’est pas forcément indiqué que vous devez rembourser le voyageur, là libre à vous de choisir ou non de rembourser le voyageur, et là il n’y a aucun jugement de valeur à voir. Si vous faites de la location courte durée, vous savez ce que je pense de l’immobilier, c’est un business. À partir du moment où vous faites de l’immobilier, vous prenez une casquette de chef d’entreprise et vous devez gérer votre activité immobilière comme un chef d’entreprise. Donc libre à vous maintenant de choisir si vous souhaitez ou non rembourser vos clients sachant que bien entendu si vous remboursez le client, ça va avoir un impact sur votre chiffre d’affaires et sur votre activité.

Alors bien entendu, même si c’est vous qui avez la décision finale, il ne faut pas non plus être trop con. On est confiné en France, ils sont confinés en Italie, si vous avez par exemple des voyageurs italiens qui avaient réservé un séjour chez vous, la logique voudrait que vous les remboursiez. Mais en tout cas attention, la décision vous appartiendra sachant que vous pouvez faire preuve d’empathie avec vos voyageurs, avec vos clients, mais la banque ne fera pas forcément preuve d’empathie avec vous. Il faut donc bien avoir ça en tête. Tournez-vous vers les conditions générales de vente et gérez au cas par cas en fonction de la gestion que vous souhaitez avoir de votre activité, et encore une fois aucun jugement à avoir là-dessus.

Ce qui m’amène à la deuxième partie de cette vidéo. Quand on investit dans l’immobilier, il faut prendre des précautions. La première des précautions que vous devez prendre quand vous vous lancez dans l’immobilier, c’est d’avoir toujours une solution de secours. Je l’ai déjà dit des tas de fois sur cette chaîne YouTube, si vous vous lancez dans une activité de location courte durée, tout votre prévisionnel doit se faire avec de la location traditionnelle. Surtout n’allez pas chercher de la rentabilité uniquement avec la location courte durée, ce serait la pire erreur et les personnes qui n’ont malheureusement pas respecté cette règle aujourd’hui s’en mordent les doigts.

Ceux qui ont voulu jouer le jeu de la spéculation en faisant de la location courte durée dans des emplacements premiums au centre-ville de Bordeaux, au centre-ville de Lyon, pourquoi pas même au centre-ville de Paris, qui ont acheté des biens immobiliers très chers en ne dégageant du cashflow et de la rentabilité qu’avec la location courte durée, ce sont des gens qui sont dans la difficulté aujourd’hui. Pourquoi ? Parce que même s’ils souhaitent rebasculer sur un mode de location plus traditionnelle, ils seront toujours en cashflow négatif. Mais s’ils souhaitent attendre que la crise passe, ce sont des gens qui ont un crédit immobilier très lourd à supporter, forcément emplacement premium oblige.

Ce que je pourrais rajouter là-dessus, c’est que quand vous vous lancez dans l’immobilier, quand tout va bien, tout va bien, il n’y a rien à dire. Par contre, moi ce que je trouve, ce qui est dangereux c’est de tout miser sur une seule activité. Si vous misez tout uniquement sur la location courte durée, vous misez tout sur une seule stratégie immobilière et là il peut y avoir danger. C’est exactement la même chose, c’est pour ça d’ailleurs que je vous invite tout au long de mes vidéos à investir dans l’immobilier parce que l’immobilier permet de diversifier les sources de revenus. Si vous êtes salarié aujourd’hui, vous avez votre fiche de paie qui tombe tous les mois. Mais si vous investissez correctement dans l’immobilier, vous avez aussi des revenus complémentaires qui tombent tous les mois.

Maintenant dans l’immobilier si vous avez uniquement basé votre stratégie sur la location courte durée, en temps de crise comme aujourd’hui avec le coronavirus, si les réservations s’annulent les unes à la suite des autres, vous n’avez aucun moyen de compenser votre perte d’activité ou votre perte de chiffre d’affaires et c’est pour ça qu’il est bon de diversifier son immobilier, donc de faire de la location courte durée oui, mais dès que possible adopté d’autres stratégies comme la location meublée, comme la colocation, pourquoi pas la location nue de façon à dégager du cashflow. En cas de périodes difficiles comme aujourd’hui, utilisez le cashflow issu des autres investissements immobiliers ou des autres modes d’exploitation pour venir éponger la perte de l’activité de location courte durée, sans parler du fait et ça on ne le dira jamais assez, il faut toujours conserver de la trésorerie, il faut toujours conserver de l’épargne, il faut toujours avoir un matelas de sécurité. Pourquoi ? Pour pouvoir payer les charges dans des périodes comme celle-ci où l’activité de location courte durée tourne au ralenti, voire ne tourne pas du tout. Avoir un matelas d’épargne, avoir su gérer sa trésorerie, ça va vous permettre de continuer à payer vos emprunts immobiliers et de continuer à payer toutes vos charges : les assurances, les charges de copropriété et bien entendu les crédits immobiliers…

Si on élargit un petit peu le débat à l’immobilier, c’est clair qu’on n’est surtout pas dans une situation évidente aujourd’hui. Quelles sont malgré tout les solutions qui s’offrent à nous lorsqu’on fait de l’immobilier ? Ce que vous pouvez faire dans un premier temps, c’est vérifier vos offres de prêts et regarder si vous avez un moyen de suspendre la durée du crédit pendant quelques mois, auquel cas je vous invite à regarder de suite vos offres de prêt et à contacter, pourquoi pas dès demain matin votre banque, pour geler vos mensualités de crédit sachant que si vous faites la location de courte durée, encore une fois en face, vous n’aurez pas de rentrer locatif. C’est un premier moyen de se sortir de l’embarras.

Maintenant, vous êtes peut-être dans une phase où vous avez souscrit un crédit immobilier parce que vous avez acheté un bien : maison, appartement, pourquoi pas immeuble même, sur lequel vous avez engagé des travaux et vous avez demandé un report des échéances de prêt de 12 mois, de 24 mois, pourquoi pas même de 36 mois. Ce qui est clair c’est qu’à l’heure actuelle, on ne sait pas jusqu’à quand le confinement va durer. Ce qui est clair c’est que votre chantier, il est en train de prendre du retard, vos chantiers sont en train de prendre du retard parce que les artisans ne travaillent pas, mais de toute façon tous les magasins de fournitures sont également fermés. Donc là encore une fois pour vous protéger, n’hésitez pas non plus à négocier avec la banque un allongement de cette période de différé de prêt.

Ce que vous pouvez faire également pour pouvoir supporter vos charges et votre crédit durant cette situation vraiment très difficile, c’est de voir avec votre banque si vous ne pouviez pas négocier un allongement de la durée du crédit. Pourquoi ? Encore une fois pour baisser les mensualités et pour pouvoir arriver le plus possible à l’équilibre. Encore une fois, vous voyez, je l’ai noté sur mes notes au moment où j’ai préparé cette vidéo, surtout la trésorerie c’est ce qui va vous sauver dans ces temps un petit peu compliqué, voire compliqué tout court même. Votre prochain investissement immobilier, il faut qu’il dégage du cashflow, c’est primordial et ne bouffez pas tout votre cashflow s’il vous plaît, gardez un matelas d’épargne pour vous sortir de situations difficiles comme ça.

Qu’est-ce qu’on peut dire maintenant par rapport à la location courte durée ? C’est clair qu’aujourd’hui, les calendriers sont vides. Je pense qu’ils vont rester vides encore pendant plusieurs semaines et personne ne sait dire aujourd’hui si ces calendriers vont rester vides pendant une semaine, pendant deux semaines, pendant cinq, six, dix semaines. Aujourd’hui, c’est le flou absolu. Tant que cette histoire de virus n’est pas maîtrisée, c’est clair qu’on reste tous à la maison et je vous encourage aussi d’ailleurs à rester à la maison. Par contre la bonne nouvelle dans tout ça, c’est que c’est une situation qu’on n’a jamais vécue, c’est une situation qu’on n’a jamais connue et c’est clair que ce qui nous arrive aujourd’hui, ça va refroidir un certain nombre de personnes de continuer dans une activité de location courte durée. Les personnes les plus frileuses vont laisser passer la crise et c’est clair qu’elles ne toucheront plus à la location courte durée et généralement ce sont des personnes qui n’ont pas une âme d’entrepreneur. Alors, je ne dis pas que c’est forcément bien d’avoir une âme d’entrepreneur, je ne dis pas que ce n’est pas bien non plus de ne pas avoir d’âme d’entrepreneur, mais à partir du moment où vous êtes entrepreneur – et encore une fois, je le redis, pour moi l’investisseur immobilier est un entrepreneur – vous prenez votre casquette de chef d’entreprise et vous passez par des périodes d’euphorie, tout va bien c’est génial et vous passez aussi par des périodes un petit peu plus compliqué et c’est vrai que ce soit dans l’immobilier, qu’on tient un commerce, un magasin de vêtement, qu’on tient un restaurant, qu’on tient un bar, ça fait partie des joies de la vie d’entrepreneur.

Ce que vous pouvez faire, c’est repasser en location normale sachant que de toute façon tôt ou tard le marché reprendra et je vais vous donner deux exemples pour illustrer ça. Vous allez tout de suite comprendre. En 2001 à New York, il y a eu des attentats. Ça a été une situation compliquée, les touristes ont fui New York, ils ont même fui les États-Unis. Puis plus le temps passe, plus les gens ensuite reprennent leurs cours de leur vie, on oublie les catastrophes et New York est redevenue une ville pour faire du tourisme. On a également eu la même chose à Paris avec les attentats de 2015. Les touristes ont fui la France, les touristes ont même fui Paris et qu’est-ce qui s’est passé ? Le temps a passé et Paris est redevenu une destination touristique où plus personne n’avait peur d’aller. On va passer cette crise et le marché de toute façon, il repartira parce que les gens ont besoin de se déplacer, les gens ont besoin de voyager, les entreprises qui tournent ont besoin d’envoyer leurs salariés, leurs collaborateurs en mission et en déplacement professionnel. Il est donc clair que le marché va reprendre, mais au passage on aura purgé tout le marché de toutes les personnes qui ne font pas de la location courte durée correctement ou qui auront été vraiment effrayés par cette histoire de coronavirus.

La question qu’on peut se poser maintenant : quelle est la suite pour le marché de l’immobilier ? Ce qu’il ne faut surtout pas oublier, je vous renvoie vers la pyramide de Maslow, c’est qu’un des besoins primaires des gens c’est de se loger. Il y aura donc toujours des transactions immobilières, il y aura donc toujours des investisseurs immobiliers et il y aura donc toujours des locataires. C’est la loi de l’offre et de la demande.

Qu’est-ce qu’on remarque après chaque crise ? Je vous renvoie pour ça à des statistiques que vous allez très facilement trouver sur internet : la crise de 1990, la crise de 2007. Qu’est-ce qui se passe à chaque fois ? Le prix de l’immobilier dégringole, le prix de l’immobilier repart à la hausse. Pendant que le prix de l’immobilier fait les montagnes russes, pendant ce temps-là, le prix du marché locatif continue à progresser régulièrement. Il ne baisse pas aussi fort que le prix de l’immobilier, il ne monte pas aussi fort que le prix de l’immobilier, par contre il est en constante évolution. C’est-à-dire que le marché locatif, malgré les crises de l’immobilier, il n’est pas impacté. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que même si le marché immobilier se casse la figure, même si le prix du mètre carré quelle que soit la ville où vous habitez se casse la figure, si vous avez fait les choses correctement, les loyers ne seront pas impactés et vous continuerez à générer du cashflow tous les mois. Même si la valeur de votre bien immobilier descend, même si votre plus-value latente descend, vous continuerez toujours à générer du cashflow, d’où l’importance, je ne le dirai jamais assez, d’acheter correctement de l’immobilier, d’où l’importance de faire vos plus-values immobilières non pas à la revente, mais à l’achat.

Qu’est-ce qui va se passer après une fois qu’on aura passé cette crise ? C’est clair que les personnes les plus frileuses vont vendre leur bien immobilier, il sera alors temps de racheter et croyez-moi il y aura de grosses opportunités à saisir, comme on l’a vu encore une fois après la crise de 1990 et comme on l’a vu également après la crise de 2007 – 2008. Par contre, ce qu’on ne sait pas aujourd’hui c’est quand est-ce que ce marché baissier va arriver, quand est-ce que ces opportunités vont se présenter, mais c’est clair qu’elles se présenteront.

Alors, on peut se poser maintenant la question sur les taux. On a vu la location courte durée, on a vu le prix de l’immobilier, on a vu l’évolution des loyers, qu’est-ce qui va advenir des taux ? La banque centrale européenne cherche à conserver des taux bas et j’irai même au-delà, la banque centrale européenne, elle cherche à préserver l’économie et elle pourrait aller à l’encontre des décisions du HCSF, du haut conseil de la stabilité financière qui en décembre dernier a donné des préconisations de façon à limiter le taux d’endettement des ménages français à 33 %, en réduisant la durée des emprunts d’immobilier à 20 ans maximum, donc plus de prêts au-delà de 25 ans. La banque centrale européenne encore une fois pourrait aller à l’encontre des préconisations de HCSF parce que son objectif est d’avoir une économie en bonne santé et l’immobilier est un premier signe que l’économie est en bonne santé. Ça, je ne l’invente pas, j’ai trouvé ces informations-là dans la presse dans des échos. Je vous mets les références de cet article dans la description juste en dessous de cette vidéo.

On va maintenant conclure cette vidéo qui a été un petit peu longue, mais c’est vrai qu’il y a pas mal de choses à dire sur l’immobilier, sur le coronavirus, sur la location courte durée. Moi, je suis plutôt d’une nature optimiste, je préfère voir le verre à moitié plein, plutôt que le verre à moitié vide. Qu’est-ce qu’on peut dire en résumé ou en conclusion de cette vidéo ? Ça va être très compliqué pour la location courte durée, clairement c’est chaud aujourd’hui. Les annulations se succèdent les unes après les autres et c’est pour ça que la diversification de votre immobilier et la trésorerie vont vous permettre de passer cette crise. Si vous devez continuer à investir dans l’immobilier, s’il vous plaît, ne misez pas tout uniquement sur une activité de location courte durée, mais pensez à diversifier votre patrimoine et vos modes d’exploitation. Ce qu’on pourra également dire dans cette vidéo, c’est qu’une fois la crise passée, il y aura de très belles opportunités à saisir et j’espère que vous serez là pour les saisir.

Alors bien entendu tout ce que j’ai dit dans cette vidéo, ce sont des choses qui n’engagent que moi, j’ai donné mon point de vue. Encore une fois, je suis plutôt d’une nature optimiste plutôt que pessimiste. Mais n’hésitez pas à partager dans les commentaires en dessous de cette vidéo ce que vous pensez de cette crise de l’immobilier, ce que vous pensez de cette crise du coronavirus. Qu’est-ce que vous avez fait ? Comment ça se passe pour vous pour votre activité de location courte durée, pour votre immobilier en général… ? Ce que je peux dire également si vous avez fait les choses correctement et que c’est dur pour vous, arrêtez votre activité de location courte durée et rebasculez sur un mode de location traditionnelle, le temps que la tempête passe.

Voilà tout ce que j’avais à dire à ce sujet. Si cette vidéo vous a plu, n’hésitez pas à la liker, n’hésitez pas évidemment à la partager. Si vous vous retrouvez pour la première fois sur cette chaîne YouTube, moi ce que je vous invite à faire, c’est à regarder le package de bienvenue que je vous offre, deux ebooks : « Convaincre la banque, mode d’emploi » et « Doubler de son salaire avec la location courte durée », ainsi qu’une formation de 2 heures 30 dans laquelle je vous explique tout le b.a.-ba de l’immobilier : où chercher son bien, comment chercher son bien, comment le faire financer, quelle stratégie adopter pour limiter le risque. Vous retrouverez tout ça dans ce package de bienvenue sur les petites fiches qui apparaissent en haut à droite de votre écran ou dans la description qui se trouve juste en dessous de cette vidéo.

On va se quitter ici pour aujourd’hui et comme d’habitude on se retrouve très prochainement pour une nouvelle vidéo sur cette chaîne YouTube. Je vous dis à très bientôt. Tchao !


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6 commentaires

  1. stephane on

    Bonjour, en cas d’annulation des congés par l’employeur de mon locataire pour cet été suis je tenu de rembourser l’acompte ?
    Merci

  2. stephane on

    C’est pour cet été comme écrit. J’ai décidé de rembourser l’intégralité des acomptes, je n’ai pas envie de me retrouver avec des procès dont l’issue sera plutôt incertaine en ces temps…particuliers

    • Sébastien on

      Tu peux garder l’acompte et proposer un nouveau séjour et ne rembourser que si le client n’a pas reloué dans les 18 mois.
      Ca permet de garder la trésorerie.

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